Les cours du blé, du maïs et soja ont tous chuté vendredi à Chicago, plombés par des craintes liées notamment à l'apparition de nouveaux cas de Covid-19 en Chine.
Grâce aux précipitations tombées en Amérique du Sud et à la remontée des températures en mer Noire, les craintes climatiques s'estompent pour les cultures dans ces deux zones.
Au lieu de savoir pourquoi les cours du blé, maïs et colza s'envolent depuis le début de l'année 2021, les lecteurs de Terre-net préféreraient que cette hausse ait été prévue, qu'elle se prolonge et même que les prix augmentent encore.
Les prix du colza battaient en retraite vendredi sur le marché européen, dans le sillage du pétrole, et poursuivaient une correction entreprise depuis plusieurs jours en raison notamment de signaux d'un retour des épidémies de Covid-19 et de peste porcine en Chine.
Les prix des céréales reculaient vendredi à la mi-journée, après avoir tutoyé des sommets en début de semaine, sur fond de prises de bénéfices et d'incertitudes sur la demande.
Le cours du blé a fléchi jeudi à Chicago dans un marché volatil aux prix élevés tandis que le maïs et le soja se sont redressés légèrement après leur baisse des derniers jours.
Les prix du colza connaissaient un très fort rebond, jeudi à la mi-journée, après deux séances lors desquelles le marché avait connu une importante correction à la suite de Chicago.
Les prix des céréales, et notamment du blé, étaient proches de l'équilibre, jeudi à la mi-journée, au lendemain de prises de bénéfices et après l'achat de 330 000 à 400 000 tonnes de blé par l'Algérie.
Après la fixation lundi des taxes à l'export de blé russe, qui risque d'être prolongée au-delà de la campagne, l'Argentine pourrait instaurer un quota d'exportation pour la céréale. Une mesure que prendrait également l'Ukraine, mais pour le maïs.
Après la crise sanitaire début 2020, la Chine est devenue le « maillot jaune » du marché des matières premières dans le monde et le restera en 2021, qu'il s'agisse des importations de métaux, d'énergie ou de matières premières agricoles, prédit le CyclOpe des matières premières mercredi.
Les cours du blé, du maïs et du soja ont poursuivi lentement leur baisse mercredi à Chicago après des pluies bienvenues pour les récoltes en Amérique du Sud, dans un contexte de niveau de prix élevé.
Le blé comme le maïs étaient en nette baisse, mercredi à la mi-journée, poursuivant un mouvement de prise de profits entamé la veille, à la suite de Chicago.
Les cours des principaux contrats de blé, maïs et soja, qui naviguent ces dernières semaines à des sommets depuis six ans, se sont un peu repliés mardi à Chicago, à l'annonce de pluies en Amérique du Sud.
220-230 €/t pour le blé, 210-215 €/t pour le maïs et 430-435 €/t pour le colza : les cours des céréales et oléagineux s'envolent en ce début d'année 2021 ! Comment expliquer de telles hausses ? Éléments de réponse.
Les prix du colza étaient en baisse mardi après-midi, dans un marché toujours très volatile à la suite de Chicago, où le soja était également en recul.
Les cours des céréales atteignaient mardi de nouveaux records pour les échéances concernées, dopées par la demande persistante et la mise en place de taxes à l'exportation par la Russie.
Selon l'International grain council (IGC), par rapport à ses estimations de novembre, la production mondiale de blé en 2020/21 augmenterait de 3 Mt, à 768 Mt. Celle de maïs, en revanche, chuterait de 13 Mt, à 1,133 Mt.
En fin de compte, la taxe à l'export de blé en Russie ne sera pas de 45 mais de 50 €/t. Et elle sera augmentée dès le 1er mars et pas à partir du 15 comme annoncé précédemment.
Les prix du colza connaissaient un léger rebond technique, lundi après-midi, suivant l'huile de palme, également en hausse, après avoir fortement baissé.
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