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Importations d’OGM Plusieurs États demandent des mesures complémentaires

L’Allemagne, soutenue par six États membres dont la France, a demandé, lors du Conseil agricole du 26 avril à Luxembourg des mesures de précaution supplémentaires pour éviter que des OGM non autorisés, comme le maïs Bt10 ces derniers mois, puissent entrer dans l’UE à l’avenir. Le commissaire chargé du dossier, Markos Kyprianou, a indiqué que le laboratoire communautaire de référence travaillait justement à la mise en place d’une banque de données centralisées regroupant les méthodes de détection disponibles pour tous les OGM produits dans le monde, de façon à pouvoir améliorer les contrôles aux frontières.

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 Hasard du calendrier ou pas, la Commission européenne a transmis officiellement aux États membres le 26 avril ses projets de levée des embargos nationaux mis en place par l’Autriche, l’Allemagne, la France, la Grèce et le Luxembourg sur plusieurs OGM (maïs Bt176 de Syngenta, T25 de Bayer et MON810 de Monsanto, colzas Topas 19/2 et MS1xRf1 de Bayer) et d’autorisation d’importation pour l’alimentation animale du maïs MON 863 résistant à la chrysomèle de Monsanto, sur lesquels les experts des Vingt-cinq n’avaient pas réussi à dégager de majorité suffisante en novembre dernier.

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