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Congrès de la Snpr Les nouvelles perspectives des propriétaires fonciers et des exploitants agricoles

Cette année, la Section nationale des propriétaires ruraux se veut être porteuse d’idées avant-gardistes pour une agriculture compétitive sur les marchés nationaux et internationaux.

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Le thème du congrès de la Snpr sera : « Propriétaires fonciers
et exploitants agricoles : vers de nouvelles perspectives »
(© Terre-net Média)

Le congrès de la section nationale des propriétaires ruraux de la Fnsea se tient à Paris ces 15 et 16 février sur le thème « Propriétaires fonciers et exploitants agricoles : vers de nouvelles perspectives »

A l’occasion des débats que s’y tiendront, la Snpr, enrichie d’expériences européennes et d’une réflexion aboutie sur les relations entre foncier et exploitation, se veut « porteuse d’idées plus avant-gardistes pour une agriculture compétitive sur les marchés nationaux et internationaux ».

La section spécialisée de la Fnsea constate « les structures s’orientent à une vitesse accélérée vers de véritables entreprises sans nécessairement avoir les outils adéquats pour y parvenir ».

Organisation de la Snpr

La Snrp est présente dans les départements. Les représentants départementaux renouvellent par élection le conseil d’administration tous les 3 ans qui lui-même choisit les membres du bureau.
Sont actuellement, membres du bureau :
- M. Michel de Beaumesnil, président (58)
- Mme Josiane Beliard (50), secrétaire générale
- M Michel Dupont (79), M. Guy Chevance (10), secrétaires généraux adjoints
- Mme Eliane Lapray (71), M.Paul Brisson (16), M. Pierre Flamain (51), M. Pierre Gay (81), et M Hubert de Robien (45).
« Pendant de longues années, il a été estimé que les propriétaires n’évolueraient pas et resteraient passifs devant les mutations économiques. Ce fut une erreur et, en tout cas, c’est un tort de le penser désormais. »

« On compte aujourd’hui 4 à 5 millions de propriétaires fonciers. Au fil du temps, la propriété a évolué : là où elle a été conservée, elle a été divisée par le fait des successions, et quand elle a été vendue, elle a attiré de véritables investisseurs éloignés du monde agricole ».

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