Agridyne L’expertise des adjuvants implique celle de la pulvérisation

Patrick Débat : « La pratique du bas-volume se généralise et l’adjuvant a un réel avenir dans ce contexte. En-dessous de 100 l, la pulvérisation devient très technique. » (© Terre-net Média)

Patrick Débat, directeur des activités France et export d’Agridyne, présente la nouvelle stratégie adoptée par la section adjuvants de De Sangosse. « Nous souhaitons donner plus de perspectives à la relation tripartite entre agriculteur, distributeur et Agridyne, entrer dans une dimension 3D qui en plus de la vente, intègre le conseil et la formation. »

Patrick Débat évoque d’abord l’aspect formation avec sept modules proposés autour de la qualité de la pulvérisation, de la maîtrise de la dérive, des bas volumes et des adjuvants. Par ailleurs, Agridyne a créé une ligne téléphonique dédiée au conseil, un numéro expert qui permet d’interroger l’un des cinq délégués régionaux répartis sur le territoire et d’obtenir une réponse dans les douze heures. Enfin, Agridyne s’engage à l’acquisition de toujours plus d’expertise par la formation et l’information continues de ses équipes sur les sujets techniques liés aux adjuvants, « la qualité de la pulvérisation notamment, qui compte pour 70 % de l’efficacité du traitement ». Enfin, la 3D inclut plus de services comme Opti-pulvé, un Oad qui établit la faisabilité de la pulvérisation ou Quad expé, un quad mis à disposition des distributeurs qui voudraient expérimenter une pulvérisation de moins de 200 litres de bouillie.