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[Vient de paraître] Terre-net Magazine Prix du lait en Suède, impact économique des mammites, affouragement en vert

Prix du lait en Suède, impact économique des mammites, s’équiper pour affourager en vert… : les sujets élevage ne manquent pas dans Terre-net Magazine n°36.

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Près de 430 €/t payés aux producteurs en février 2014 : le prix du lait en Suède est l’un des plus élevés d’Europe, grâce notamment à la forte consommation intérieure. La production laitière est « un business rentable » ici, selon Andreas Anderson, éleveur de Rouges suédoises au sud de Stockholm. Reportage dans l’un des pays laitiers les plus septentrionaux au monde, qui serait en mesure d’accroître son potentiel de production dans les années à venir, dans la rubrique Champ planet’terre de Terre-net Magazine n°36 (p. 12-13).

A la page suivante, toujours concernant les vaches laitières, la rubrique Inflexion (p. 15-16) est consacrée aux mammites. Première pathologie des élevages laitiers français (environ 40 % des vaches touchées au niveau national), cette pathologie est aussi la principale cause de réforme. Or le coût d’une mammite clinique est estimé à plus de 100 € et l’impact économique total atteint 230 €/vache/an, soit environ 32 €/1.000 l de lait.

Un peu plus loin, la rubrique Pleins phares (p. 24-25) est également dédiée à l’élevage avec un sujet sur l’affouragement en vert. Parcellaires éclatés, intégration d’un robot de traite, valorisation des couverts végétaux, réduction des concentrés… Les raisons d’un regain d’intérêt pour cette alternative au pâturage sont nombreuses. Différentes options sont possibles avec, chacune, son lot d’avantages et d’inconvénients, ainsi que des coûts d’investissement et de fonctionnement très variables.

Enfin, la rubrique En avant marge (p. 18) fait un focus sur la production de viande bovine en Chine. Pour réduire sa dépendance et enrayer la progression des importations de carcasses, le pays engage un plan de relance visant à produire 7,17 Mt de viande en 2015 et 7,86 Mt en 2020, soit une hausse de 19 % en huit ans. Un moyen d’accroître sa sécurité alimentaire, qui repose aussi sur des investissements à l’étranger.

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