Login

Monsanto et les Ogm Les agriculteurs n’ont pas le choix

Malgré le fait qu’elle souligne que « les variétés de maïs contenant MON810 sont sûres pour le consommateur et l’environnement », l’entreprise multinationale « n’est pas surprise par l’avis de l’Afssa » a-t-elle confiée.

Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.


Bon ou mauvais?
Dans le doute la France s'est abstenue...Monsanto est déçu!
(© Terre-net Média)
La firme Monsanto déplore, à la suite de la décision française, que les agriculteurs n’aient pas le choix d’accéder à la technologie Ogm. Ils seraient ainsi privés « de ses bénéfices techniques, économiques et environnementaux ».

« Plus de 13 millions d’exploitants agricoles dans le monde (dont 90% dans les pays en voie de développement), utilisent avec succès et choisissent de réutiliser les cultures Ogm depuis 13 ans » déclare-t-elle.

« En agissant de la sorte, la France pénalise sérieusement les agriculteurs français » affirme Monsanto.

Les consommateurs passeraient également à côté de la qualité « nutritionnelle et des bénéfices pour l’environnement qu’autorisent les biotechnologies végétales », ajoute l’entreprise.

Au nom du principe de précaution

Cette réaction intervient à la suite de la décision du gouvernement français de maintenir la suspension de la culture du maïs Ogm Mon810 de Monsanto. Malgré, la vive polémique autour des organismes génétiquement modifiés, personne n’est encore en mesure de conclure formellement sur leur toxicité potentielle. De plus, souvent amalgamés, les Ogm en cause sont des plants résistants à certains produits phytosanitaires, le problème serait peut-être différent pour des plantes résistantes au stress hydrique entre autres.

Pour en savoir plus sur le sujet :
Les cultures restent suspendues, la polémique redémarre, en cliquant ICI
Bruxelles échoue à forcer la main à la France et à la Grèce, en cliquant ICI
125 millions d'hectares de "Pesticides-résistants", en cliquant ICI
Les Ogm : une solution « alternative » aux herbicides ?, en cliquant ICI

A découvrir également

Voir la version complète
Gérer mon consentement