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Offices agricoles Plus de la moitié des offices pourraient quitter Paris.

La localisation des offices agricoles fera vraisemblablement l'objet de discussions serrées dans les semaines à venir entre le ministère de l'Agriculture et le Comité pour l'implantation territoriale des emplois publics (Citep), une instance placée sous la tutelle conjointe des ministres chargés de la réforme de l'Etat et de l'aménagement du territoire.

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S'il semble probable que cinq offices gardent leur siège à Paris (Onic, Oniol, Inao, Onipam, Firs), sept autres pourraient être contraints de quitter la capitale : l'Acofa, l'Ofival, l'Onilait, l'Ofimer, l'Oniflhor, l'Onivins et l'Odeadom. De source syndicale, le Citep verrait d'un bon œil une délocalisation en grande banlieue (Plaine St Denis, Marne-la-Vallée par exemple), ce que refuse le ministère de l'Agriculture, favorable à un regroupement des sept offices précités à Montreuil (banlieue Est).

Le dossier défendu par le ministère devrait être soumis pour avis au Citep début juillet. Par ailleurs, environ 250 agents des offices ont manifesté le 23 juin à Paris pour exprimer leurs craintes à l'égard des projets de délocalisation et de réforme.


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