S'il semble probable que cinq offices gardent leur siège à Paris (Onic, Oniol, Inao, Onipam, Firs), sept autres pourraient être contraints de quitter la capitale : l'Acofa, l'Ofival, l'Onilait, l'Ofimer, l'Oniflhor, l'Onivins et l'Odeadom. De source syndicale, le Citep verrait d'un bon œil une délocalisation en grande banlieue (Plaine St Denis, Marne-la-Vallée par exemple), ce que refuse le ministère de l'Agriculture, favorable à un regroupement des sept offices précités à Montreuil (banlieue Est). |
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