[Synthèse] Les coopératives et l'installation Quels liens entre les jeunes agriculteurs et leurs coops ?
Appui financier, conseil agronomique, formation à l'engagement professionnel, partages d'expériences, évolution des pratiques... les relations entre les jeunes agriculteurs et leurs coopératives vont bien au-delà de la fourniture d'intrants et de l'apport de productions agricoles.
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Retrouvez dans cette fiche de synthèse les trois articles parus cet été sur Terre-net sur les coopératives et les jeunes agriculteurs :
- L'enquête de La Coopération Agricole sur l'accompagnement proposé aux jeunes installés par les entreprises de son réseau : Aides financières, techniques... : quelles mesures dédiées aux jeunes ?
Elle révèle notamment que 73 % d'entre elles mettent en place des aides financières, 65 % un suivi technique renforcé, 49 % un soutien administratif... Pour en savoir plus, consultez l'article ci-dessus.
- Le témoignage de Denis Baro, président de La coopération Agricole de Nouvelle-Aquitaine, sur les bénéfices réciproques entre les coopératives et leurs jeunes adhérents : « Une relation gagnant-gagnant financière, technique et humaine »
En particulier, il met en avant « l'esprit coop », qui consiste à « transmettre des bonnes pratiques et des valeurs » et inversement, « le dynamisme et la nouvelle vision de l'agriculture » qu'apportent les nouveaux coopérateurs. Découvrez les autres avantages de cette relation "donnant-donnant" dans l'article précédemment cité.
- Et les jeunes producteurs, quels intérêts voient-ils dans la coopération ? Réponse de quatre d'entre eux dans : Paroles de jeunes − « Une sécurité financière et agronomique »
« Les prix et les contrats rassurent », par exemple, Thibault Tauzia et lui permettent « de se projeter dans l'avenir ». Grâce au suivi technique, plus régulier pour les jeunes exploitants, Julien Biteau a pu « aller plus loin en agronomie et développer le troupeau ». À travers le portage de foncier et les certifications environnementales mises en oeuvre par les coopératives avec lesquelles il travaille, « la viabilité du projet d'installation » de Christophe Villier a été « confortée ». Pour Angélique Chabrely enfin, « sans la Cuma, l'investissement en matériel aurait été trop lourd ». Voir l'ensemble de leurs arguments sur les bénéfices de la coopération pour les jeunes agriculteurs qui s'installent dans l'article mentionné ci-avant.
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