Dans leur communiqué, les deux ministères "relèvent avec intérêt l'idée d'une meilleure participation des maires et plus généralement des élus locaux aux décisions de gestion de ces territoires". "Bien entendu, ceci ne peut être mis en oeuvre que dans le respect des textes internationaux et communautaires qui protègent les grands prédateurs", soulignent-ils toutefois. |
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