Au cours d'une réunion de deux heures avec la juge, le procureur adjoint du parquet de Montpellier, André Dutil, a estimé que M. Bové "a déjà bénéficié du droit de grâce exercé par le président de la République", qui a signé un décret "fixant les limites de l'indulgence accordée au requérant", a rapporté Me Roux à la presse devant la prison où étaient réunis quelques militants de la Confédération paysanne. |
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