Selon Michel Meuret, chercheur à l'Inra d'Avignon, “la sanction de José Bové est sans commune mesure avec les faits qui lui sont reprochés. Trois semaines de prison pour destruction d'OGM, passe encore, mais 10 mois c'est ahurissant!”. Par ailleurs, il reconnaît que “les actions de José Bové ont permis aux scientifiques de prendre conscience du manque de données sur la dissémination des OGM. Les débats ne sont pas tranchés. Il faut accroître nos connaissances avant l'industrialisation”. Selon lui, la mobilisation devrait encore s'amplifier à la rentrée où il attend un millier de signature. |
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