Pour M. Trocard, les viticulteurs ne peuvent "pas être des collecteurs d'impôts pour l'Etat" et cette hausse serait "une mauvaise chose". Il a notamment rappelé que les droits de circulation ont été créés, à l'époque, avec l'accord des professionnels, pour lutter contre la fraude et connaître le suivi des vins. "Cela n'avait pas du tout un objet fiscal", selon lui. |
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