"La prise en compte des difficultés rencontrées par la filière dans une conjoncture difficile, la non justification de cette taxe en terme de santé publique et la nature agricole du vin, entre autres, ne justifiaient pas une éventuelle hausse de la fiscalité afin de renflouer le déficit de la Sécurité sociale", a expliqué M. Trocard dans un communiqué. |
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