"On nous a dit de faire comme on le sentait", a dit Philippe Richard pour expliquer la rédaction de cette attestation mettant en cause Noël Trocellier, datée du 20 décembre 2002, alors que quatre dirigeants venaient d'être mis en examen et que les restaurants du groupe se vidaient. "On nous a laissés libres de notre choix", a-t-il souligné. |
Partager