«Nous craignons de voir se développer dans notre région des menaces pour la santé publique du type de celle créée par les dioxines», poursuit Martin Malvy dans un courrier adressé le même jour au ministre de la Santé, d'autant que le fipronil «ne présente pas de garanties nécessaires n'ayant pas d'autorisation de mise sur le marché». Il observe que «des riverains de cultures traitées» ont déjà eu des problèmes de santé et demande une saisine de l'AFSSA «pour avoir un avis sur l'éco-toxicité du fipronil et des risques pour la santé humaine», évoquant des contaminations possibles via l'air et les aliments. |
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