Le syndicat de José Bové estime que la décision de la Commission européenne revient "à condamner définitivement toute tentative d'instaurer des prix minimums en Europe". A travers cet arrêt, la Commission veut signifier que "la loi du marché doit primer, définitivement et sans aucune concession sur toute autre préoccupation", souligne-t-elle. Le syndicat dénonce par ailleurs les termes choisis par la Commission pour justifier cet arrêt ainsi que la lourdeur de la peine qui constituent, selon lui, "une grave entrave à la liberté syndicale et à la légitimité de défendre le revenu des paysans". |
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