Cette étude, non encore validée par la Commission selon la confédération, privilégie, parmi six options, et selon les termes du texte, « une approche plus orientée sur le marché, avec des aides directes au revenu, comme cela se passe pour les autres grandes cultures ». Selon les betteraviers, l'analyse projette l'économie sucrière à 2011 pour une union à 15 alors qu'il y aura en fait 25 membres. De plus, la CGB estime que les évaluations concernant le revenu des fermes betteravières sont loin d'être exactes. Ces deux raisons impliquent, entre autres, que « ses conclusions ne peuvent être définitives et doivent être complétées et amendées ». Et la confédération de rappeler que « le régime actuel des quotas a fait ses preuves et doit être maintenu ». |
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