"J'ai toujours affirmé depuis ma condamnation définitive qu'il n'était pas question pour moi de m'agenouiller devant le président Chirac. Néanmoins, si ma libération anticipée devait arriver, je ne m'y opposerai pas", précise José Bové, qui est incarcéré à la maison d'arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone, près de Montpellier, depuis le 22 juin. |
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