Une décision qui "marque une rupture" (Attac)

"Nous nous réjouissons du fait que José Bové sorte de prison, ça n'est que justice. Le président de la République, pour des raisons politiques et même politiciennes, a refusé de gracier José Bové. La justice a fait ce que Jacques Chirac n'a pas fait. C'est excellent", a-t-il déclaré à l'AFP.

"Jacques Chirac a fait une grossière erreur politique. Il devrait méditer la situation qui vient d'être créée", a-t-il poursuivi.

"Plus généralement, cette décision devrait trouver des suites pour tous les autres militants associatifs ou syndicaux qui sont poursuivis pour des motifs mineurs par rapport aux sanctions dont ils sont frappés. Cette décision de justice est très importante, elle marque une rupture", a jugé M. Nikonoff.

Selon lui, "cela conforte la justesse de la lutte que nous menons contre les les dangers que représentent les OGM, pour la qualité de l'alimentation. La population, qui déjà majoritairement soutient cette lutte - tous les sondages le montrent - ne peut qu'être confortée dans son opinion", a-t-il commenté.

Le leader de la Confédération paysanne José Bové fait partie du collège des membres fondateurs d'Attac.


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