Les magistrats ont mis leur décision en délibéré au 26 février. "Il n'est pas question pour moi de renoncer au combat, malgré les risques d'emprisonnement", a lancé le syndicaliste paysan à la sortie du palais de justice, acclamé par quelque 200 sympathisants aux cris de "libérez Bové, Chirac en prison". |
Partager