"J'ai ressenti une montée de la colère très forte contre l'Etat, qui ne respecte pas sa parole. Une longue dégradation se met en place (...) et il ne serait pas impossible qu'en 2004, il y ait à nouveau une révolte", a déclaré José Bové, en faisant référence aux violences entre communautés kanak et européenne qui avaient secoué l'île au début des années 80. |
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