"A partir de là, il y a deux solutions : soit la CSG, soit une participation individuelle plus forte", explique le député de l'Eure dans un entretien à La Tribune. Alors que les députés entament mardi l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), le dirigeant de l'UDF espère que "(son) groupe sera plus entendu qu'il ne l'a été sur le budget" par le gouvernement. |
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