Adrien Petruccioli, gérant de la société GID, créée en septembre 2000 et basée en Moselle, a rejeté mercredi devant la presse toutes les accusations formulées par la LDH, démentant "formellement toute implication dans un trafic de main-d'oeuvre". M. Petruccioli a renvoyé la responsabilité de ce trafic sur Carlos Dos Santos, un intermédiaire portugais, responsable d'une antenne du GID à Candé (Maine-et-Loire) qui devait passer mercredi en comparution immédiate au tribunal d'Angers pour "aide à séjour irrégulier". |
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