«Notre objectif n'est pas de détenir ces droits pour les conserver mais simplement maintenir à l'exploitation que nous louons la possibilité de rester compétitive», a fait savoir le président de la section, M. de Beaumesnil. Pour éviter toute dérive, cette possibilité serait assortie de l'obligation de mettre à la disposition ces droits à paiement au fermier suivant. La SNPR estime que, plus que jamais, le statut du fermage «ne répond plus à l'évolution du monde agricole». |
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