"Il aura suffi au gouvernement de recevoir quelques milliers de courriers électroniques dont 18 seulement, du propre aveu du ministère, concernaient spécifiquement les nouveaux programmes, pour prendre une décision aussi lourde de conséquences potentielles", écrit M. Malvy dans son communiqué. "Je ne peux que m'insurger contre cette parodie de consultation", poursuit-il, jugeant "inacceptable que le gouvernement ne tienne aucun compte des interpellations des conseils régionaux comme des autres collectivités locales". |
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