Parmi celles-ci, sa préférence va à l'incorporation obligatoire de biocarburants dans les carburants, en commençant par exemple par 1 % en 2005. Cette solution aurait l'avantage de ne pas « coûter » à Bercy en non recettes de taxe. Le surcoût des biocarburants serait dilué dans le prix à la pompe à hauteur d'un demi-centime par litre. |
Partager