La France n'échappe pas au phénomène : pour les cinq premiers mois de l'année, les achats des ménages en viande de gros bovins reculent de près de 2% par rapport à 2003 (panel Secodip), avec même un recul de 3,4% pour la période allant de la mi-avril à la mi-mai. Par rapport aux mêmes périodes de 2000, avant la crise de la vache folle, il subsisterait un déficit d'environ 7%, selon l'Ofival. La hausse des prix de détail n'arrange pas les choses : selon l'Insee, les prix ont augmenté en moyenne de 3,6% sur les 4 premiers mois de l'année, par rapport à la même période de 2003. |
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