"Il faudra faire quelque chose, il y a une volonté de ralentir cette évolution", a commenté le préfet, Jean-Pierre Lacroix. L'importance de cette pollution est supérieure à la moyenne nationale, a-t-il précisé, répondant à un journaliste. Lancée en 2000, l'étude de la qualité des eaux dans la région s'est accélérée en 2004, avec 440 contrôles prévus, contre 227 en 2003. Sur 350 substances nocives recherchées, 83 ont été trouvées dans les eaux superficielles et 23 dans les eaux souterraines. La norme minimale admise de 0,1 microgramme par litre d'eau a été dépassée dans 50% des cas pour les eaux de surface et dans plus de 30% dans les eaux souterraines. |
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