"C'est une justice expéditive et un procès politique, puisque les gendarmes ont en leur possession des dizaines de photographies de faucheurs volontaires, que nous étions 1.500, et qu'on ne s'intéresse qu'à trois d'entre nous", a déclaré Gérard Onesta en montrant à la presse la convocation devant le tribunal de grande instance qui lui a été remise à la gendarmerie de Toulouse-Mirail peu après 11h00. |
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