"Si cela ne devait pas être le cas, le gouvernement prendra ses responsabilités. C'est une affaire de quelques jours", a affirmé Nicolas Sarkozy. Le ministre de l'Économie a estimé qu'il "faut associer les grossistes" à ces accords. Soulignant la complexité de la situation, il a évoqué "un 4e partenaire, l'Europe, qui vérifie que la libre circulation des biens et des capitaux sur l'ensemble du territoire européen se fait dans des conditions de saine et de loyale concurrence". |
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