"Sinon, dans 6 mois, nous nous retrouverons dans la même situation de crise" que celle de cet été, a-t-elle précisé, ajoutant qu'une réunion interministérielle était prévue mercredi sur ce dossier. "Nous souffrons d'une situation de distorsion insupportable pour les coûts salariaux par rapport au Maroc ou aux pays de l'Est", a-t-elle poursuivi. La FNPL demande ainsi le remboursement du différentiel de coût de main d'oeuvre "à hauteur de 4 euros de l'heure". |
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