"J'ai demandé à mon collègue (ndlr: le ministre de l'Environnement) d'accélerer les prélèvements, car il est intolérable que près d'un mois après la prise des arrêtés, il n'y ait pas eu de résultat", a ajouté M. Gaymard en estimant que cela illustrait "les difficultés à réguler cette espèce". Il a ajouté que la question d'abattre d'autres loups serait "revue lorsque les quatre loups (dont l'abattage est autorisé NDLR) seront effectivement prélevés". |
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