Les professionnels "regrettent cette décision qui fait le jeu des extrémistes, en leur laissant toute latitude pour continuer les destructions", dénoncent le CFS (confédération française des semenciers), le GNIS (groupement nationale interprofessionnel des semences et plants) et l'UIPP (union des industries de la protection des plantes). Les huit militants anti-OGM, dont le leader syndical José Bové, le député Vert Noël Mamère et le secrétaire national des Verts Gilles Lemaire, avaient arraché un champ de maïs transgénique expérimental à Menville (Haute-Garonne) le 25 juillet. |
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