Réunis devant la permanence du député de la circonscription Jacques Le Guen (UMP), qui a reçu une délégation, les producteurs ont indiqué qu'ils accusaient une perte équivalente à 15 euros par m2 d'exploitation en raison notamment d'une "distorsion de concurrence" avec les pays de l'Est à faible coût de main d'oeuvre. Les manifestants, qui se sont dispersés sans incident, ont également dénoncé l'augmentation de leurs charges de carburant, le gazole étant utilisé pour le chauffage des serres. Le Finistère compte 150 producteurs de tomates employant quelque 2.000 salariés. |
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