La distribution veille mais refuse de décider pour ses clients

Quelques actions ponctuelles concrètes peuvent être envisagées, a-t-il expliqué, comme veiller au type de bonbons vendus juste devant les caisses, "qui sont déjà à 70% des bonbons allégés", ou encore veiller aux doses individuelles proposées. "Mais globalement il faut manger de manière équilibrée, et ne pas jeter l'opprobre sur tel ou tel produit. Un enfant peut quand même manger des bonbons de temps en temps. Une comparaison avec le tabac n'est pas la bonne", a-t-il insisté, s'inquiétant que l'obésité soit assimilée à une "deuxième affaire de la vache folle". "Ce n'est pas au magasin de dire au client quoi manger. Le consommateur ne peut nous reprocher que de ne pas l'avoir informé sur un produit", a-t-il poursuivi, ajoutant que si un produit est vraiment nocif "il faut nous interdire de le vendre". Pas question donc selon lui de parcours fléchés avec des pastilles vertes ou rouges recommandant ou déconseillant un produit, comme l'ont fait des grandes surfaces en Grande-Bretagne. Les grandes surfaces ne sont responsable envers les consommateurs que des produits à leur marque propre. Pour les produits de marques industriels, ce sont les fabricants qui sont responsables.


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