Les semenciers veulent pouvoir traiter les semences exportées

"Les pouvoirs publics refusent toujours d'autoriser les entreprises installées en France à effectuer ces traitements de semences pour les marchés extérieurs qui les réclament" alors qu'"aucun autre pays européen n'a à ce jour interdit les traitements" du Gaucho et du Régent, accusés de causer une surmortalité chez les abeilles, écrit le GNIS dans un communiqué.

Le GNIS affirme que "cette interdiction bloque tous les investissements prévus et va faire perdre à la France un niveau de compétences inégalé dans ce domaine". La France est, selon le GNIS, le premier pays exportateur de semences de maïs avec 970.000 quintaux exportés, qui permettent d'ensemencer plus de 3 millions d'hectares. Quelque 80% de ces exportations ont lieu vers des pays de l'Union européenne, dont 15% traités avec des produits insecticides. La filière française des semences a rapporté un excédent commercial de 230 millions d'euros, dont plus de la moitié provenant des semences de maïs.


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