Le procès avait été engagé par un diabétique, décédé en 2003, qui avait arrêté de fumer et avait commencé en juin 2001 à manger plus d'un paquet de bonbons Ricola sans sucre par jour. "Ses dents sont devenues aiguisées comme des lames et il se coupait sans cesse les gencives et à l'intérieur des joues", a expliqué à l'AFP Me Sonia Signoret, selon laquelle la progression de l'usure avait cessé avec l'arrêt de la consommation de bonbons, plusieurs mois plus tard. |
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