L'étude, qui montre que seuls 29 % des exploitants accepteraient de semer des OGM, présente des résultats homogènes quelle que soit la région, l'âge, la formation ou la taille de l'exploitation. L'incertitude quant aux risques est le premier argument des agriculteurs réticents. L'étude note également que "les agriculteurs ont été très prolixes sur la justification de leur refus de semer des OGM". Les agriculteurs favorables citent en priorité l'avantage concurrentiel que leur donnerait la technologie. |
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