"La libéralisation des échanges agricoles ne peut répondre aux préoccupations alimentaires des pays pauvres", qui sont de plus victimes de "la baisse du prix de leurs produits de base", indique François Guillaume (UMP, Meurthe-et-Moselle), ancien ministre de l'Agriculture et rapporteur du texte. "Libéraliser à tout va l'agriculture aboutit, à terme, à faire reposer la sécurité alimentaire de la planète sur la production des pays les plus compétitifs", estime-t-il, en préconisant de "renoncer à la fausse alternative qui est proposée pour la relance des négociations agricoles" à l'OMC. |
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