Au vu des 123 000 ha de vignes que compte le Bordelais et des stocks qui pèsent sur le marché (1,6 millions hl de surplus), "c'est peu, mais l'arrachage est un crève-coeur pour les viticulteurs, le niveau des primes est restreint et les restrictions règlementaires sont importantes", selon le délégué régional de l'Onivins, Jean-François Bertran de Valenda. |
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