"Sur le secteur principal, il n'y a plus aucun végétation dans les vignes, plus de feuilles, plus de rameaux, plus de raisins", selon Philippe Alain, le vice-président de la cave coopérative dont environ 200 des 1100 hectares sont touchés. Le désespoir des viticulteurs est d'autant plus grand que l'appelation Bergerac a été particulièrement touchée par la crise viticole depuis 2001.
Partager