« Nous voulons faire naître des organismes de gestion des AOC (ODG), placés sous la houlette de l’INAO, qui représentent et défendent les AOC et organisent les normes à mettre en place autour du suivi des conditions de production », explique Christian Paly, président de la Cnaoc.
Pour plus de rigueur, ces ODG confieraient l’exécution de leurs décisions à des organismes agrées indépendants. La Confédération a également approuvé une gestion par bassin de production : « ce sera aux responsables professionnels d’organiser une éventuelle mixité entre vins de pays et AOC dans les bassins, sous la tutelle de l’INAO que la loi d’orientation transformera en Institut de la qualité », poursuit Christian Paly. Dans ce schéma, cet institut « intégrerait » les vins de pays.