Pour autant, "les dernières propositions de la présidence luxembourgeoise peuvent constituer la base d'un accord, compte tenu des difficultés à concilier les positions des uns et des autres et de la nécessité pour chacun de faire un effort", selon le président français. M. Chirac a ajouté que la France était prête à accepter la proposition budgétaire luxembourgeoise, qui représente un effort de 10 milliards d'euros pour la France, mais qu'il n'ira pas au delà. S'agissant de la politique agricole commune (PAC), il s'est déclaré opposé à toute diminution supplémentaire des aides directes d'ici à 2013 qui seraient liées aux futures adhésions de la Bulgarie et de la Roumanie.
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