Dans un communiqué, la fédération "dénonce l'opacité des champs de cultures OGM en France" et note qu'en dépit de nombreux arrêtés d'interdiction ou motions des collectivités locales, "l'Etat, sourd, continue sa politique". Par ailleurs, elle a renouvelé "sa condamnation de la judiciarisation de l'action citoyenne". Quinze faucheurs volontaires seront jugés le 16 septembre par le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand pour avoir détruit le 27 août deux parcelles d'OGM. Par ailleurs, neuf responsables politiques et syndicaux, dont plusieurs élus Verts et José Bové, seront jugés les 20 et 21 septembre à Toulouse pour fauchage d'OGM en juillet 2004 en Haute-Garonne.
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