Elles ont alerté le ministre de l’Agriculture par un courrier du 7 septembre et l’appellent à la "plus grande fermeté" au cours des discussions à venir. En cause notamment, la reconnaissance des pratiques œnologiques plus libérales des Américains (y compris le mouillage des vis à hauteur de 7%) et l’autorisation de maintenir (aux États-Unis et dans les pays tiers) les noms semi génériques (Chablis, Champagne, Chianti, Claret, Haut Sauterne...). En revanche la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux de France (FEVS) estime qu’il s’agit d’un "accord raisonnable", qui "doit permettre (...) de rétablir un climat de confiance et d’assurer la fluidité" des échanges commerciaux.
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