" Il serait scandaleux de faire croire aux Pays en voie de développement que cela peut se faire sans une politique, c’est-à-dire une action collective, aussi bien sur les conditions de financement des investissements que sur l’accès au foncier ou la mise en marché des produits " explique le président des chambres d’agriculture. Vouloir, à l’OMC, mettre sur le même plan l’agriculture, l’industrie et les services est " une supercherie lourde de conséquences sur la possibilité des peuples à assurer leur souveraineté alimentaire " conclut le leader syndical.
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