Ils ont demandé au gouvernement de " s’impliquer au maximum " dans le rejet de cette proposition de réforme. Les agriculteurs espagnols craignent que la réforme n’entraîne d’importantes suppressions d’emploi et un repli de la production nationale. L’Espagne compte sur une mobilisation des pays membres opposés au texte, dont l’Espagne, la Grèce, l’Irlande, la Finlande ou encore le Portugal pour faire échouer un accord.
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