1,5 million d’euros devraient donc être à nouveau débloqués cette année pour ces comités, chargés de mieux organiser l’offre de viande par rapport à la demande. En revanche, le ministre n’a pas vraiment répondu sur " les caisses de régulation " que souhaitait mettre en place la FNCBV, pour permettre aux agriculteurs d’investir dans l’engraissement. Il faut attendre l’avis de Bruxelles sur le mémorandum français, pour voir si le financement public de ces "caisses" est eurocompatible, a-t-il laissé sous-entendre. Réponse espérée d’ici la fin de l’année.
Partager