Il considère que le niveau de la défiscalisation (qui est de 33 euros par hectolitre d’ester et de 37 par hectolitre d’éthanol) " devrait être révisé à la baisse " et que l’avantage concurrentiel des biocarburants par rapport aux carburants fossiles, garanti par la Taxe générale sur les activités polluantes, est " excessif ". Réagissant à chaud à ce rapport, les professionnels du monde agricole estiment que la défiscalisation des biocarburants est nécessaire à leur lancement et que les véritables sources d’élévation des coûts pour le consommateur sont le monopole du raffinage sur la commercialisation des biocarburants.
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